Village De l'Emploi

L’HISTOIRE INEDITE DU VILLAGE DE L’EMPLOI ET DE LA METHODE SYSOTECH SYSTEMS

Présentation

Bienvenue à tous sur ce blog qui présente l’histoire inédite de la méthode SYSOTECH SYSTEMS exploitée aujourd’hui par la marque Village de l’Emploi, une histoire parsemée d’imprévus que le Village de l’Emploi a toujours su surmonter, et dont nous sommes fiers .
Jusque-là, nous avions concentré notre communication sur d’autres aspects : les milliers de carrières lancées, le temps que ce programme permet de faire gagner aux jeunes diplômés sur leur carrière, etc…

En effet, le Village de l’Emploi c’est 5400 carrières lancées depuis 20 ans, et autant de belles histoires de personnes qui étaient soit informaticiennes et qui ont pu grâce à nos experts trouver un emploi à la hauteur de leur potentiel, soit issues d’un tout autre domaine, biologie, marketing, chimie, et bien d’autres, et qui ont pu se reconvertir avec succès dans l’informatique. Vous trouverez tout cela et bien plus sur notre site internet (https://village-emploi.fr/) et sur notre chaîne Youtube avec de nombreux avis Village de l’Emploi (https://www.youtube.com/channel/UCe7_P9h1lze1unc1ugE1JVg/playlists).
Nous souhaitons aujourd’hui parler de notre histoire, qui est une véritable fierté que nous voulons mettre en avant. En effet, depuis l’existence de ce programme il y a 20 ans, il a dû être confronté à une série d’imprévus. Donner de l’expertise à des jeunes diplômés et leur dénicher les meilleures carrières, puis se trouver dans des histoires incroyables, que cela fasse rire ou non, en tout cas ce n’était pas prévu…
Qu’est-ce qui explique cela ? Il faut savoir que le Village de l’Emploi transmet aux jeunes diplômés une expertise visant à les rendre opérationnels et leur recherche un premier emploi, tout cela gratuitement afin qu’ils puissent lancer leur carrière à un niveau confirmé sereinement. Nous misons sur le fait que les 4 millions d’euros investis annuellement pour la montée en compétence et la recherche d’emploi de nos jeunes diplômés seront compensés par leur embauche chez un employeur partenaire qui participe au financement du programme.

Or, il est fréquent que ce retour sur investissement ne se produise jamais ou que partiellement, face à des pratiques illégales qui sont menées contre le Village de l’Emploi et qui incitent les jeunes diplômés à partir une fois leur montée en compétence effectuée et leur première mission trouvée.

Ces pratiques passent par une cybercriminalité organisée ainsi qu’une manipulation de la justice et des organismes fiscaux et sociaux.
Pour s’en rendre compte facilement il suffit de remarquer le réel paradoxe qui existe entre la transparence et la richesse du site internet du Village de l’Emploi – les nombreux témoignages vidéos Village de l’Emploi d’anciens jeunes diplômés devenus experts et de jeunes diplômés actuels, les opinions Village de l’Emploi du livre d’or manuscrit, les programmes des différentes spécialités, la présentation des différents experts formateurs, etc – et entre les mensonges qui sont proférés. Quand on confronte ces différents éléments, il est aisé de s’apercevoir que quelque chose ne tourne pas rond.

Peu de projets auraient tenu face à de tels événements, car même si leur absurdité a été démontrée, y compris par la justice, elles ont profondément meurtri aussi bien le Village de l’Emploi que tous ses partenaires et ont laissé des traces encore aujourd’hui, sous forme de rumeurs qui circulent encore non seulement sur internet notamment sous forme de faux opinion, mais aussi dans les juridictions civiles, dans les différentes administrations, et chez les clients des entreprises partenaires, à qui elles ont d’ailleurs valu de nombreuses ruptures de contrats commerciaux et une atteinte grave à leur image. Malgré tout cela, le Village de l’Emploi a continué de se développer (à une vitesse bien moindre de ce qu’elle aurait dû être en 20 ans d’existence) et ceci montre sa véritable force. Il a dû se reconstruire à 3 reprises (en 2004, en 2011, puis en 2019) mais il a toujours survécu.
Tous les acteurs du Village de l’Emploi, investisseurs, partenaires employeurs, experts formateurs, ont toujours tenu bon et se sont battus contre vents et marées car ils sont restés animés par l’intime conviction que la disparition de ce programme serait une véritable perte pour les jeunes diplômés. En effet, ceux-ci seraient alors privés de l’opportunité d’accéder à une expertise unique et à une carrière accélérée, tout cela sans avoir à dépenser un euro grâce à la confiance des partenaires employeurs qui financent le programme et les lourdes dépenses qu’il implique (recherche des candidats, loyers, salaires des experts, matériel, recherche d’emploi, etc…).
L’histoire du Village de l’Emploi, c’est ça, ce sont ces hommes et ces femmes qui ont continué d’y croire malgré tout et de former des jeunes, qui, alors qu’ils les regardaient droit dans les yeux, pouvaient à tout moment rejoindre ces groupes de personnes qui les accusaient des pires horreurs pour voler. L’histoire du Village de l’Emploi, c’est comment mettre en œuvre une méthode, comment avoir une équipe soudée, comment motiver cette équipe soudée même dans les moments les plus difficiles, leur donner l’envie de sourire et trouver un moyen de déceler du positif dans chaque chose qui se produit, même les plus horribles, et les voir comme des bonnes nouvelles avec lesquelles on rigolera dans quelques années.

C’est cela que nous voulons souligner dans notre histoire. Le projet Village de l’Emploi a toujours eu des objectifs honorables d’accès à l’emploi, et pas à n’importe quel emploi, à une carrière stable et accélérée, et c’est pour cela qu’il a survécu. Cette équipe a toujours essayé de continuer de produire même en ayant tous les feux dirigés contre eux, car ils savaient que tous ces événements n’étaient que des stratagèmes pour détourner leur attention des actes illégaux qui étaient produits derrière, qui ne tiendraient jamais car basés sur le mensonge, et que les différentes enquêtes et contrôles démontreraient la vérité, ce qui a été le cas.
Le préjudice causé au Village de l’Emploi pendant ces nombreuses années a été énorme, car nous avons été accaparés par toutes ses manœuvres de manipulation de la justice, des différents organismes etc, sur lesquels nous avons dû concentrer une grosse majeure partie de notre temps et énergie au lieu de se concentrer sur la montée en compétence des jeunes diplômés et la recherche d’emploi. Le Village de l’Emploi s’est presque transformé en cabinet d’avocat pour pouvoir faire face à tout cela alors que ce n’est pas notre métier. Grâce à la persévérance de ces hommes et ces femmes, ce sont malgré tout 5400 emplois qui ont été créé malgré tout pendant cette période, et nous sommes intimement convaincus que ce sont des millions d’emplois qui pourront l’être dans un climat plus serein.

Ces pratiques ayant été démasquées, nous nous attaquons aujourd’hui à ce problème sur plusieurs plans (campagne de sensibilisation, communication, actions civiles et actions pénales). En effet, le Village de l’Emploi est qu’il faut mettre en place un système sécurisé et hermétique à ces pratiques. Aucun grand projet ne peut exister s’il n’est pas sécurisé, et cela concerne même les projets citoyens qui sont dans la création d’emploi.
Ainsi, ce blog retrace les éléments marquants de notre histoire par ordre chronologique, un peu comme un musée des imprévus auxquels le Village de l’Emploi a été confronté pendant ces 22 dernières années.

1998 – 2004 : Naissance du programme et mauvaise rencontre

L’année 1998 est l’année de la naissance de la première version de la méthode Village de l’Emploi marquée par l’arrivée de l’an 2000 et le besoin accru d’informaticien. Il s’agissait d’enseigner aux jeunes diplômés l’expertise qui leur était nécessaire pour accéder directement à des postes confirmés dans les métiers de l’informatique.
L’essence de cette méthode est la transmission d’une expertise complète autour de 4 axes : axe technique bien sûr (connaître et maîtriser les outils utilisés chez le client), mais pas seulement : il y a aussi l’axe projet (savoir comment est organisé un projet informatique d’envergure, qui sont les différents interlocuteurs, comment y trouver sa place…) l’axe métier (connaître le métier du client – banque, assurance, e-commerce…), et l’axe communication (savoir parler en public, tenir des réunions, présenter des projets…), qui sont essentiels à maîtriser pour pouvoir travailler sur un projet informatique et décrocher une mission. Autre particularité : cette méthode s’adresse non seulement aux informaticiens mais aussi aux personnes issues d’autres domaines qui peuvent se reconvertir dans des métiers qui ne nécessitent pas de savoir programmer, comme l’assistance à la maîtrise d’ouvrage par exemple.
A ses commencements, cette méthode a été mise au point à une petite échelle à un niveau artisanal. Son concepteur, jeune ingénieur en informatique, s’est lancé en indépendant, aidé de son frère et de ses deux sœurs, tous trois titulaires d’un doctorat.
Ils s’occupaient de la partie opérationnelle et administrative tandis que tout ce qui concernait la partie comptabilité avait été laissée à un associé. Or, cet associé s’est avéré être une très mauvaise rencontre, qui a causé la disparition totale du projet. En effet, il a été découvert que ce dernier exploitait en réalité cette famille qui formait des jeunes diplômés en s’appropriant tous les bénéfices qui étaient censés être réinvestis, ce qui a causé la faillite du projet.
Au final, il ne restait plus rien : plus de locaux, plus de projet, plus d’argent, et il a fallu se faire une raison : dépouillés de toutes leurs économies, il était impossible à ce jeune ingénieur et à sa famille de poursuivre le projet.

 

2004-2011 : Renaissance

Malgré cette mauvaise expérience, le concepteur du programme n’a pas cessé d’y croire, convaincu du potentiel de celui-ci pour les jeunes diplômés. Il a présenté le projet à des investisseurs qui ont été convaincu. Cela a marqué le début d’une nouvelle histoire pour la méthode du Village de l’Emploi, qui a pu renaître et se développer de nouveau.
Il reste qu’il a fallu tout recommencer de zéro, ce qui n’était pas simple. Les locaux précédemment occupés étaient spacieux, dans la grande arche de la défense, mais il a fallu recommencer dans des locaux plus exigus, pouvant accueillir beaucoup moins de personnes.

Le pari a néanmoins été réussi puisque des centaines de jeunes diplômés ont pu lancer leur carrière dans l’informatique jusqu’en 2011 où il y avait une base de 140 salariés pour les sociétés recruteuses finançant le programme, pour des promos allant de 50 à 80 étudiants. Ceci reste un faible progrès comparé à celui qu’il aurait dû y avoir si tout s’était déroulé de manière continue depuis 1998.

En 2010, le Village de l’Emploi a emménagé dans de nouveaux locaux, plus spacieux, à Clichy dans le bâtiment historique du Pavillon des Emailleries. Ceci a impliqué une augmentation importante des charges, qui correspondait à une hausse du nombre d’étudiants qui était à prévoir. Cependant, un second choc est venu stopper net cette progression.

 

2011 : Histoire sordide : Des jeunes diplômés inventent de fausses accusations contre leurs propres professeurs dans le but dérisoire de se soustraire à leur engagement d’aller travailler chez les entreprises partenaires.

Un matin d’octobre 2012, une situation à la limite de l’imaginable s’est produite : à 6h du matin, des policiers ont mené une perquisition chez des salariés du Village de l’Emploi et les ont placés en garde à vue. Une vingtaine de jeunes diplômés s’étaient lancés dans une affaire sordide en les accusant de prodiguer une fausse formation, avec des formateurs incompétents, de séquestrer des étudiants étrangers, de les exploiter, ou encore de leur faire écrire des faux CVs à longueur de journée. Quel n’a pas été le choc pour ces salariés d’entendre une telle histoire, de se faire mettre en examen pour escroquerie, et de se faire emmener au poste de police menottés !
Des accusations tellement grosses et graves que tout cela n’est pas sans faire penser à l’affaire du bagagiste de Roissy. Nous sommes là à niveau supérieur puisque les cible des attaques n’étaient autre que les personnes mêmes qui avaient transmis leur expertise aux jeunes diplômés pendant plusieurs mois et permis de trouver un emploi ; et pas n’importe quel emploi : un poste de niveau confirmé en informatique !

Et des accusations disproportionnées par rapport à l’objectif dérisoire que ces jeunes diplômés avaient en les proférant : leur but était d’être libérés leur engagement d’aller travailler chez les employeurs partenaires du Village de l’Emploi pendant 3 ans afin d’aller, maintenant qu’ils avaient les compétences nécessaires, travailler dans d’autre société pouvant leur offrir un salaire légèrement plus élevé puisqu’elles n’avaient pas financé leur montée en compétence ni leur recherche d’emploi. Et pour cause : le domaine des systèmes d’information est un secteur extrêmement cher ! En effet, les personnes qui l’enseignent ne sont pas des professeurs d’université mais des experts ayant une expertise de plusieurs années sur les outils techniques utilisés en entreprise. Il suffit de rechercher « formation Power BI » ou encore « formation PL/SQL » sur Google pour s’en rendre compte : une formation de 3 jours seulement sur ces outils coûte en moyenne entre 3000 euros. Alors que le Village de l’Emploi propose une formation complète de plusieurs mois, non seulement sur plusieurs outils techniques mais en plus avec les axes métiers, projet, et communication, pour permettre aux jeunes diplômés d’être pleinement opérationnels et de les accompagner jusqu’à l’accès à l’emploi, et pas n’importe quel emploi, un emploi de niveau confirmé.

Ainsi, tous, à l’issu de leur formation, avaient inventés de multiples prétextes pour s’absenter et disparaître : maladie, décès d’un proche, etc…, mais ils étaient en réalité allés se faire embaucher par d’autres sociétés ! Cette stratégie, qui est aussi passée par des diffamations sur internet avec des faux opinion par exemple, pourrait être décrite par l’expression « brûler un poulailler pour voler un œuf ».

Il ne faut pas oublier que ces personnes se sont inscrites au Village de l’Emploi justement parce qu’elles ne trouvaient pas d’emploi, ou pas d’emploi correspondant à la hauteur de leur potentiel, et qu’elles avaient un délai de rétractation de 2 semaines pour tester si la formation leur convenait. Mais non, toutes ces personnes ont consommé gratuitement, en toute connaissance de cause, les termes du contrat étant très clairs, le produit dans son intégralité, ont profité pendant plusieurs mois des experts et des technologies enseignées au Village de l’Emploi, tout cela en montrant leur meilleur visage d’élèves modèles, puis, une fois qu’elles étaient opérationnelles, elles sont parties se faire embaucher dans d’autres sociétés sur des postes de niveau confirmés dont beaucoup rêveraient, sans respecter leurs engagements, sachant que la plupart ne connaissaient rien à l’informatique avant de venir chez nous. Puis, quand les montants dus ont été réclamés, elles ont organisé une stratégie commune basée sur des fakes news, prétendant qu’il s’agissait d’une formation vide consistant à rédiger de faux CV et à piéger des étrangers.
En effet, toutes les personnes qui ont participé à cette affaire sordide appartenaient à la même communauté et se connaissaient bien. Elles ont profité de ce statut d’étrangers et du fait qu’il y a une pénurie d’informaticiens en France, d’où la présence d’étrangers dans ce secteur, pour essayer de se faire passer pour de pauvres immigrés piégés qui se font exploiter dans des champs de tomates par des agriculteurs véreux qui exploitent des clandestins sous le soleil pour ne pas les payer, alors qu’en réalité c’était tout le contraire et que grâce à la formation qu’ils avaient reçu, ils faisaient partie de l’élite française et étaient à même d’occuper des postes de consultants, analystes programmeurs, ingénieurs étude et développement, etc, dans des grands comptes et à un niveau confirmé ! Sans omettre le fait que bien sûr, le Village de l’Emploi enseigne aussi bien à de jeunes diplômés français qu’étrangers, et que tous les étrangers qui sont présents sont des personnes qui sont en situation parfaitement régulière et qui ont étudié en France.
Ces actes, en plus d’être répréhensibles pénalement, posent aussi d’importantes questions morales. Ces personnes ont consommé un produit, l’ont utilisé, puis après utilisation ont dit qu’il n’était pas bon, et en plus de ne pas avoir dépensé un euro, disent qu’elles ont été exploitées et réclament des sommes. Le pire c’est que ce produit est une expertise qu’ils utiliseront à vie, donc l’immoralité de leur acte ne s’éteindra jamais et ils continueront d’utiliser tous les jours ce qu’ils ont volé. Et quand on leur demande : mais comment as-tu donc fait pour passer d’une licence de droit ou d’anglais à un poste d’ingénieur ferroviaire sur le métro de Dubai ? Ils ne peuvent pas donner d’autres explications que : « je me suis auto-formé », ce qui n’est pas crédible et impossible pour des domaines d’expertise aussi rares.
Tous ces jeunes diplômés avaient, suite à leur parcours chez le Village de l’Emploi, obtenu une bonne situation en tant qu’ingénieurs en informatique, avec un salaire de 2000 euros net par mois, un salaire donc beaucoup de débutants rêveraient. Beaucoup d’entre eux n’étaient même pas informaticiens à l’origine et ont appris leur métier chez le Village de l’Emploi. Autre précision importante : ces personnes n’ont jamais donné un seul euro au Village de l’Emploi, tandis que beaucoup d’argent avait été investi sur chacun d’eux pour les trouver, les former, et leur chercher un emploi. De plus, ils avaient tous 15 jours pour se rétracter librement au début de leur formation, comme c’est d’ailleurs toujours le cas aujourd’hui pour les personnes qui entament le programme Village de l’Emploi. Ils avaient donc tout le loisir de quitter la formation dès les premiers jours s’ils estimaient que c’était une fausse formation.
On peut se demander de quel côté se trouve l’exploitation dans tout cela : est-ce que ce sont les jeunes diplômés, qui ne connaissaient pas l’informatique, qui ont été formés pendant plusieurs mois sur des métiers très demandés sur le marché sans jamais dépenser un seul euros, et à qui un emploi payé 2000 euros net par mois a été trouvé, qui ont été exploités, ou bien est-ce la société qui a dépensé de l’argent pour former ces personnes (salaire des experts, locaux, matériel, logiciels, tickets restaurant, etc…) et pour leur rechercher un emploi, et qui n’a jamais reçu de leur part aucun euro mais au contraire s’est retrouvée avec des accusations sordides pesant sur ses salariés ? L’enquête a bien démontré qu’elle ne se trouvait en aucun cas du côté des jeunes diplômés qui ont bénéficié du programme, qui ont au contraire obtenu ce qu’ils venaient chercher.

Exemples de stratagèmes et manipulations de la justice

Pour parvenir à leurs fins, certains jeunes diplômés ont été jusqu’à photographier les locaux vides pendant la période du déménagement qui a eu lieu en 2010 pour raconter à la police qu’ils étaient séquestrés dans des salles vides, sans chaises, ni tables, ni matériel informatique.
Un autre, à qui son professeur avait transmis son expertise dans le ferroviaire, expertise extrêmement rare par ailleurs, et qui grâce à cela avait décroché une mission en tant qu’ingénieur sur le métro de Dubai, qui s’était très bien déroulée, avait apporté à son professeur en souvenir un keffieh (foulard traditionnel arabe). Son professeur, par politesse, l’avait donc essayé et son ancien élève l’avait pris en photo. Tout ce que ce dernier a trouvé à faire par la suite a été d’utiliser la photo de son professeur avec le keffieh sur la tête pour raconter à la police qu’il s’agissait d’un terroriste.
Quelle n’a pas dû être la surprise des policiers lorsqu’ils n’ont trouvé, lors de leur perquisition chez ce professeur, rien d’autre qu’un diplôme d’ingénieur et un père de famille respectable vivant avec sa femme et ses enfants. Ces derniers ont dû assister à cette scène édifiante à 6h du matin en voyant leur conjoint et père se faire menotter et emmener en garde à vue, lui qui se rendait au quotidien à l’école pour transmettre son expertise à des jeunes diplômés et les aider dans leur recherche d’emploi.
Un autre stratagème qui a été révélé pendant l’enquête est la préparation concertée d’attestations cerfa avec des points précis à mentionner : absence de formation, absence de matériel informatique, professeurs incompétents, falsification de CV, présence exclusive d’étudiants étrangers, exploitation, certains parlant même d’«esclavage », etc… Tout ceci était organisé dans un groupe email nommé « escrocs » et dans lequel les ex-étudiants se nommaient eux-mêmes entre eux « Chers futurs escrocs » pour se faire passer les instructions sur les faux témoignages à produire. Des multitudes de faux témoignages faits sur ce modèle avaient donc été portés aux autorités en soutien à leurs accusations. Etant donné la gravité des accusations portées et le nombre de faux témoignages (plus d’une vingtaine), il est compréhensible qu’une enquête ait été ouverte.

 

La persévérance sans faille des acteurs du Village de l’Emploi

Un simple transport de justice et quelques vérifications ont été suffisants pour constater la fausseté de ces accusations et l’absence d’infraction. Il n’en reste pas moins que ce dossier est resté à l’abandon dans les tiroirs du juge d’instruction pendant près de 10 ans. En effet, quand la justice s’est rendu compte de l’erreur qui avait été commise, ce dossier, peu urgent, a été relayé au second plan, et ce n’est que 8 ans plus tard, en avril 2019, qu’il a été repris en main par le nouveau juge d’instruction et que le non-lieu a été prononcé. Or, pendant ces 10 années, les 5 mis en examens ont dû supporter le poids de ces accusations et toutes les conséquences qui vont avec ce statut, dont l’interdiction de voyager.
Parmi ces 5 personnes, le concepteur du programme, qui était accusé d’être le chef d’orchestre de tout cela et qui était en mission en Chine au moment des perquisitions. Pendant toutes ces années il n’est pas revenu en Europe, son employeur craignant pour lui et souhaitant le protéger en l’envoyant dans des missions à travers l’Asie et l’Afrique. Toutes ces années donc, il a été privé de sa famille et de voir grandir ses enfants, qui devaient voyager à l’autre bout du monde chaque fois qu’ils voulaient le voir.
Il faut ici relever le comportement remarquable de ces hommes et femmes qui étaient accusées des pires horreurs, qui ont dû supporter perquisitions, menottes et placement en garde à vue devant leur famille, et qui malgré tout cela n’ont jamais abandonné. Ils ont continué de former et de trouver des emplois à des jeunes diplômés au quotidien, alors qu’ils étaient susceptibles de se rejoindre des groupes de personnes et inventer les pires accusations contre eux à tout moment ! Les investisseurs comme les employeurs partenaires du Village de l’Emploi n’ont jamais rien lâché non plus, convaincus de la force du programme et de sa grande valeur ajoutée pour les jeunes diplômés, qui seraient privés d’une belle opportunité de gagner des années sur leur carrière si le programme disparaissait. Grâce à leur courage et leur détermination, le programme a survécu et a continué de se développer malgré tout.

L’instrumentalisation des procédures civiles : une porte ouverte pour voler

La procédure pénale a bloqué les procédures civiles, ce qui laissait le champ libre aux jeunes diplômés qui bénéficiaient du programme pendant plusieurs mois de partir sans payer s’ils le voulaient, sans être inquiétés d’être poursuivis devant le juge civil pour faire respecter le contrat qui avait été signé. C’était une véritable porte ouverte : c’est un peu comme si les clients d’un supermarché avaient l’occasion de sortir sans passer par la caisse.
Mais le pire, c’est qu’encore aujourd’hui les horribles rumeurs qui avaient été lancées ont continué d’être utilisées dans le cadre de la production organisée d’attestations mensongères devant le juge civil pour demander l’annulation du contrat. C’est toujours le même processus : bénéficier du programme pendant plusieurs mois sans utiliser le délai de rétractation, puis disparaître pour aller travailler ailleurs que chez les employeurs partenaires du Village de l’Emploi qui ont financé leur formation, ni payer par eux-mêmes, sans être inquiétés : il leur suffit d’organiser en groupe la production d’attestations mensongères qui racontent toujours la même histoire sordide : une formation vide, des étrangers exploités, des faux CV, etc… alors même que l’enquête pénale a démontré sa fausseté ! Cependant, ils profitaient du fait que le non-lieu n’ai été rendu qu’en avril 2019 et du fait que le Village de l’Emploi a, pendant une période, tellement été submergé par le nombre de cas qui se multipliait, qu’il n’était plus à même d’assurer sa défense, même son avocat s’est trouvé submergé, au point de louper des délais !
En revanche du côté de ces personnes le procédé est bien rôdé, et très simple : il suffit de venir se former au Village de l’Emploi en montrant son meilleur visage d’élève modèle pendant plusieurs mois, puis une fois le programme terminé et les compétences acquises, deux options sont possibles :
– Disparaître pour aller travailler dans d’autres structures pour mettre mieux à profit les compétences acquises dans des sociétés n’ayant pas financé leur formation, puis, une fois que le paiement est réclamé, produire en groupe organisé des attestations diffamatoires devant le juge civil ;

Ou :

– Profiter, en plus de la montée en compétence, de la recherche d’emploi par le Village de l’Emploi pour se faire embaucher par un employeur partenaire et effectuer une mission pendant quelques temps puis se faire embaucher directement par le client pour avoir un salaire plus élevé, en violation de toute clause de non-concurrence (contenue dans le contrat de travail avec le salarié) et de non-sollicitation (contenue dans le contrat de prestation de service avec le client). Pour ce faire embaucher par le client du partenaire, la stratégie est toujours la même : diffamer chez le client à propos du Village de l’Emploi et de ses partenaires, avec toujours les mêmes histoires sordides, en menaçant de quitter le projet pour mettre la pression sur le client afin de le convaincre d’embaucher. Puis, une fois que les sommes dues sont réclamées par le Village de l’Emploi, produire en groupe organisé des attestations diffamatoires devant le juge civil ;
Ce procédé est d’autant plus simple que toutes ces personnes se font défendre par les mêmes avocats, qui organisent la collecte des attestations mensongères et les utilisent au gré des procédures et des besoins. Il s’agit d’une véritable escroquerie au jugement, puisque ces personnes manipulent le juge avec de fausses informations, et le Village de l’Emploi a mis en marche des procédures pénales contre les auteurs.
On peut se demander qui est réellement la victime dans cette histoire, est-ce le jeune diplômé qui a bénéficié de la transmission d’une expertise unique lui ayant permis de trouver un très bon poste sans jamais dépenser un seul euros, ou bien est-ce la société qui a dépensé beaucoup d’argent pour le former et lui rechercher un emploi, sachant que la plupart ne connaissaient même pas l’informatique au départ, et qui doit faire face à des personnes qui non seulement ne respectent pas leurs engagements mais en plus diffament devant les juges, chez les clients des partenaires, et sur internet ?

Illustration d’instrumentalisation de la justice civile pour voler

Il y a beaucoup d’illustrations de cette escroquerie au jugement qui a pu durer pendant une période, le Village de l’Emploi ayant été submergé par tout cela. Aujourd’hui, il a mis en place une équipe juridique solide de 6 personnes à plein temps pour palier à la situation, tant sur le plan civil que sur le plan pénal.
Ainsi à titre d’illustration, on peut citer une décision de la Cour d’appel de Paris datant de 2017. La requérante dans cette affaire (nommons là Mme X) est une ex-étudiante du Village de l’Emploi qui a suivi le programme en 2010. A ce moment-là, elle n’avait aucune expérience en informatique et ne parvenait pas à lancer sa carrière professionnelle. Après 12 semaines de formation, 2 jours avant la fin de son parcours et l’embauche par un employeur partenaire, elle a décidé de partir, préférant utiliser les compétences qu’elle avait acquises pour aller travailler autre part avec un salaire légèrement plus élevé. Elle a d’ailleurs par la suite et encore aujourd’hui mené une très bonne carrière dans l’informatique alors qu’elle n’avait aucune expérience professionnelle juste avant son passage au Village de l’Emploi. Elle a donc choisi l’option de payer la formation par elle-même, ce qu’elle a commencé à faire selon un échéancier qui avait établi avec elle.
Cependant au bout de quelques mois, elle a cessé les paiements et décidé de contester le contrat devant le juge. En effet, le Village de l’Emploi avait entre-temps assigné en paiement d’autres jeunes diplômés qui avaient utilisés la porte ouverte pour partir sans payer, et qui avaient tous pris avocat commun et organisé la rédaction d’attestations cerfa mensongères comme expliqué ci-dessus. Mme X a pris le même avocat et s’est jointe à ce groupe, et a donc pu produire des dizaines d’attestations appuyant ses arguments devant le juge civil, sachant que le Village de l’Emploi ne pouvait pas se défendre en face de ces accusations graves.
En effet, Mme X avait assigné Le Village de l’Emploi en Suisse alors qu’il y a un siège en France et que c’est lui seul qui apparaît sur tous les documents, dont le contrat. Mme X connaissait par ailleurs également l’adresse du centre de formation où elle avait été formée, qui se situe en France aussi, et avait le numéro de téléphone de la directrice avec qui elle s’était entretenue de nombreuses fois. Il était donc surprenant qu’elle aille jusqu’à la Suisse sans prévenir personne quand elle a vu qu’il n’y avait aucune réaction, d’autant plus que dans les autres procédures qu’il avait contre le Village de l’Emploi, son avocat correspondait avec l’adresse française. En plus de cela elle a assigné le Village de l’Emploi à une ancienne adresse et à un ancien représentant. Le Village de l’Emploi n’a ainsi jamais été informé de la procédure, sauf quand Mme X a gagné en appel grâce à toutes les attestations mensongères, et qu’elle a pour la première fois envoyé le jugement à la bonne adresse cette fois-ci pour obtenir le paiement des sommes demandées.
De plus, si on revient sur la teneur du jugement, on remarquera que le juge n’a pas retenu l’argument de « tromperie » (dol) invoqué par Mme X -ce qui aurait difficile notamment vu les 15 jours de rétractation qu’elle avait pour tester si la formation lui convenait au début-, mais a plutôt annulé le contrat pour un problème de forme (sachant qu’il s’agissait d’un vieux contrat de 2010…). Cette affaire est aujourd’hui portée en cassation et une procédure pénale sera engagée contre les responsables de cette manipulation de la justice.
Cette illustration n’est pas la seule. On peut aussi citer le cas de l’une des personnes de cette bande, qui avait produit un faux témoignage pour Mme X, et qui a lui aussi gagné grâce à 11 faux témoignages de personnes qui comme lui étaient poursuivies pour la même chose. Dans ce dossier non plus le Village de l’Emploi n’avait pas pu être présent pour se défendre à cause de manœuvres sur des courriers qui avaient été volés. Ainsi le juge, sur la seule base des 11 faux témoignages a conclu que le Village de l’Emploi serait une fausse formation, qu’il n’y aurait aucun contenu ni théorique ni pratique, et consisterait seulement à la falsification de CV, ce qui est absurde et complètement faux ! Il l’a même condamné à payer les sommes qui auraient été « prélevées sur les salaires » du jeune diplômé en question, alors qu’il n’y a aucun prélèvement sur salaire ! Or, le juge s’est basé sur les seuls éléments erronés apportés par la partie adverse sans que nous n’ayons pu apporter les preuves évidentes du contraire. Il s’agit là clairement d’une escroquerie au jugement, infraction pénale répréhensible, en plus des faux témoignages, et le Village de l’Emploi a donc mis en place des procédures pénales contre ces personnes, en plus du pourvoi en cassation.

 

2017 : Franchissement d’un cap supplémentaire dans l’horreur

Quelle n’a pas été la surprise du Village de l’Emploi et de ses partenaires quand un matin la police aux frontières a frappé à leur porte ! Personne ne comprenait le rapport entre le Village de l’Emploi et la police aux frontières !
En réalité, un cap supplémentaire dans l’horreur avait été franchi : la police aux frontières pensait que le Village de l’Emploi et ses partenaires étaient une vaste organisation criminelle dont le seul but était de régulariser des étrangers, que les partenaires n’existaient pas, qu’il n’y avait pas de vrais emplois et que tout était fictif.
Quelle a été la source de ces rumeurs ? Comme d’habitude, bien sûr, des diffamations de la part de jeunes diplômés qui y avaient intérêt. En effet, les étudiants étrangers qui terminent leurs études en France doivent obtenir un changement de statut salarié, et une fois ce changement de statut obtenu, doivent rester au minimum un an chez l’employeur qui a appuyé leur demande. Or, comme d’habitude, ces jeunes diplômés ne voulaient pas attendre un an et partaient de chez le partenaire aussitôt le changement de statut obtenu. Pour se justifier, ils diffamaient en racontant les pires aux horreurs aux DIRECCTE et administrations françaises, qui ont fini par faire remonter ces accusations.
La police aux frontières a alors pendant un an et demi convoqué les salariés des employeurs partenaires pour les interroger sur le poste qu’ils occupaient et leur faire passer des tests techniques pour vérifier qu’ils avaient réellement étudié l’informatique au Village de l’Emploi. Pas seulement la police aux frontières, mais tout le monde y est passé : les impôts, l’URSAAF, l’inspection du travail, la direction départementale de protection des populations…
Tous pensaient des horreurs sur le Village de l’Emploi, tout cela à cause des diffamations qui étaient faites par les jeunes diplômés qui voulaient partir sans payer et manipulaient tout le monde à cette fin, jusqu’aux administrations et organismes de l’Etat.
Tout cela a été extrêmement préjudiciable pour les partenaires du Village de l’Emploi, d’une part parce que leur image était gravement atteinte auprès des administrations qui ne leur délivraient plus d’autorisation de changement de statut et d’autre part parce qu’une centaine de salariés ont profité de ces événements pour trouver un prétexte pour partir, puisque les DIRECCTE elles-mêmes leur conseillaient de s’éloigner.
De plus, quand les enquêtes ont été terminées et ont démontré que tout était faux, l’alerte n’a pas été faite dans le sens inverse, ce qui fait que certaines DIRECCTE et préfectures continuent aujourd’hui de penser que le Village de l’Emploi est une organisation criminelle, refusent de délivrer des autorisations de changement de statut pour les salariés des partenaires du Village de l’Emploi, et en plus de cela continuent de faire tourner les rumeurs horribles qui avaient été proférés alors que leur fausseté a été démontrée.
Tout cela a été un véritable choc pour les partenaires du Village de l’Emploi, qui en plus d’avoir perdu des centaines de salariés, ont dû subir une très grave atteinte à leur image tant auprès des administrations françaises qu’auprès de leurs clients. Ils ont tenu le choc malgré tout grâce à leur courage et leur détermination.

2019 : Vol de toutes les ressources et du savoir-faire du Village de l’Emploi

Durant l’été 2019 nouveau choc pour le Village de l’Emploi : le départ concerté et organisé de 6 formateurs et commerciaux du Village de l’Emploi en volant toutes les ressources, le savoir-faire, les cours, les ordinateurs, etc. Ce choc a été d’autant plus important que ces personnes avaient elles-mêmes bénéficié du programme du Village de l’Emploi et avaient fait carrière grâce à cela pendant plusieurs années, avant de revenir au Village de l’Emploi pour assister l’équipe d’experts.
Il se trouve que ces personnes faisaient partie du même groupe de jeunes diplômés qui profitaient du programme et des partenaires puis disparaissaient en volant. Cette fois-ci, ils sont allés plus loin car ils ne se sont pas contentés de voler uniquement leur formation mais voulaient tout s’approprier, les ressources, les cours, le programme et le savoir-faire en infiltrant le cœur même du Village de l’Emploi en tant que formateurs.
Ils ont monté de leur côté des fausses sociétés partenaires, prestataires de services informatiques, pour récupérer les étudiants à l’issu de leur montée en compétence au Village de l’Emploi, au lieu qu’ils aillent chez les entreprises partenaires finançant le programme.
Dans ces conditions il est facile d’attirer les jeunes diplômés : ces entreprises n’ayant pas financé les lourdes dépenses impliquées par le programme (loyers, salaires des experts, matériel, etc…), elles peuvent leur offrir un salaire plus élevé.
Par ailleurs, le fond de roulement utilisé pour créer ces sociétés a une origine douteuse. Des enquêtes internes sont en cours et la justice enquêtera également là-dessus. Il faut respecter le temps de la justice, qui est long, certes, mais ce temps arrivera et chacun sera rétribué selon ses actes.

2020 : La cerise sur le gâteau : Cybercriminalité à grande échelle et Covid-19

Aujourd’hui, le du Village de l’Emploi est qu’il est nécessaire de mettre en place une solution robuste contre les multiples défis auxquels il est confronté, en plus de la crise du Covid-19 : une cybercriminalité qui s’est amplifiée, alliée à une manipulation de la justice et des organismes sociaux et fiscaux, tout cela dans le but de voler ses actifs.

Détournement des millions d’euros investis par le Village de l’Emploi pour rendre les jeunes diplômés opérationnels et leur trouver un emploi
Il a été découvert tout récemment que certaines personnes malintentionnées ont créé des sociétés de prestation de services informatiques qui ne sont pas des partenaires et qui proposent d’embaucher les jeunes diplômés rendus opérationnels par le Village de l’Emploi, en lieu et place des employeurs partenaires. Non seulement cela, qui est très grâce, mais qu’en plus ces personnes allient cette stratégie à une cybercriminalité organisée pour détruire l’image du Village de l’Emploi en ligne pour parvenir à leurs fins : décrédibiliser sa cible pour pouvoir la voler facilement grâce aux pires accusations et rumeurs qui courent contre lui et que l’on a nous-même lancées sur internet.
N’ayant investi aucune somme ni pour trouver les jeunes diplômés, ni pour leur montée en compétence, ni pour les loyers, ni pour les salaires des experts formateurs, ni pour le matériel informatique, ni pour la recherche d’emploi, etc, ils promettent aux jeunes diplômés un salaire très légèrement supérieur et dénigrent gravement le Village de l’Emploi pour les attirer.
Deux scénarios se présentent alors :
– Concernant les jeunes diplômés français, ils les détournent soit directement soit après qu’ils aient bénéficié chez nous d’une montée en compétence voir même qu’ils aient effectué une première mission que nous leur avons trouvé et aidé à décrocher. En effet, la première mission agit comme une sorte de déclique qui permet de dépasser les appréhensions du débutant.
– Concernant les jeunes diplômés étrangers, ils attendent non seulement la montée en compétence, le premier job, mais aussi que l’employeur partenaire ait effectué les formalités et dépensé les frais pour que le jeune diplômé puisse travailler en France (changement de statut), pour ensuite les embaucher à moindre frais, en leur proposant quelques centaines d’euros de plus pour salaire.
Nous parlons ici de sommes importantes, avec des experts payés 10 000 euros net par mois et 17 000 euros investis sur chaque étudiant. Ce sont des millions d’euros qui sont détournés par ces personnes.
Ces pratiques sont clairement illégales et constitutives d’infractions pénales graves. Des actions sont actuellement menées devant la justice pénale.
C’est un peu comme si un étranger arrivait à la gare du nord et était démarché des voyous profitant du fait qu’il ne connaît pas pour lui promettre logement et salaire, et l’amener avec eux pour faire démarrer sa carrière d’emblée par le crime.

Cybercriminalité organisée : piratage de sites internet, usurpation d’identité pour poster de faux avis, utilisation de forums privés pour attirer les jeunes diplômés, etc…
Pour parvenir à leurs fins, ces personnes n’hésitent à s’adonner à une véritable cybercriminalité organisée pour publier des diffamations inqualifiables et de faux avis contre le Village de l’Emploi sur internet afin que tout jeune diplômé puisse les utiliser comme prétexte pour rompre ses engagements, une fois qu’il a été formé et qu’il a trouvé un emploi.
Cette campagne est allée jusqu’au piratage de différents sites internet à travers le monde pour y injecter des textes associant le nom « Village de l’Emploi » à des termes diffamatoires et ainsi impacter négativement le référencement du Village de l’Emploi.
Un autre acte de cybercriminalité a été la publication de faux avis Village de l’Emploi négatifs et mensongers, dont l’un d’entre eux est même allé jusqu’à usurper l’identité de l’un de nos experts formateurs.
Ces procédés passent aussi par certains forums de discussions fermés qu’ils administrent sur des thèmes susceptibles d’intéresser les jeunes diplômes et qui en regroupent des milliers, afin de les attirer et de leur donner leur avis sur le mode d’emploi à adopter : se former gratuitement chez le Village de l’Emploi et éventuellement trouver une première mission afin de dépasser ce cap important et difficile du débutant, puis partir sans être inquiétés grâce aux dizaines de faux témoignages qu’ils leur fournissent pour qu’ils les produisent devant la justice civile au cas où les montants dus leur seraient réclamés. Or, la production de faux témoignages est une infraction punie par le code pénal et des procédures sont en cours contre leurs auteurs.
Toutes les preuves de ces multiples agissements frauduleux ont été conservées.
Les mensonges proférés à l’encontre du Village de l’Emploi sont issus des fausses accusations à la limite de l’horreur qui avaient été portées il y a 10 ans par des jeunes diplômés contre leurs propres professeurs qui les avaient formés et permis d’accéder à l’emploi, dans le seul but de se désengager pour aller travailler dans des sociétés qui n’avaient pas financé leur montée en compétence et qui pouvaient donc leur offrir un salaire plus élevé.
Or cet acte pénal numéro 1 est désormais terminé et ces personnes ne pourront plus utiliser toujours les mêmes mensonges dont la fausseté a été constatée par la justice française. Nous sommes maintenant à l’acte pénal numéro 2 et c’est à leur tour, cette fois-ci de manière fondée.

Manipulation de la justice, ou comment faire passer la future élite française pour des immigrés exploités dans des champs par des agriculteurs véreux
Pour se soustraire à leurs engagements, les jeunes diplômés sont ainsi incités à manipuler la justice à travers plusieurs procédés tous plus graves les uns que les autres :
• Ces personnes profitent du fait qu’il y a une pénurie d’informaticiens en France, qui explique la présence importante d’étrangers qui effectuent leurs études dans les universités françaises, pour inciter nos jeunes diplômés, future élite française, à se faire passer pour des pauvres immigrés qui se font exploiter dans des champs de tomates par des agriculteurs véreux qui exploitent des clandestins sous le soleil pour ne pas les payer.

Or, ceci a déjà été tenté et la supercherie a été démasquée par la justice française, c’était l’acte pénal numéro 1, il y a 10 ans. En effet, il suffit d’investiguer pendant quelques secondes le problème pour se rendre compte de la tromperie : de quel côté se trouve l’exploitation dans tout cela : est-ce que ce sont les jeunes diplômés (français et étrangers, il y a de tout) qui ne connaissaient pas l’informatique, qui ont été formés gratuitement pendant plusieurs mois sur des métiers très demandés sur le marché et à qui un emploi payé 2000 euros net par mois a été trouvé sans jamais dépenser un seul euro, qui ont été exploités, ou bien est-ce la société qui a investi des milliers d’euros pour former ces personnes et pour leur rechercher un emploi, et qui n’a jamais reçu de leur part aucun euro ni aucune gratitude mais au contraire s’est trouvée confrontée à des accusations sordides ? Est-il utile de préciser également que tous les jeunes diplômés ont 15 jours pour tester la formation et se rétracter librement ?

Nous en sommes maintenant à l’acte pénal numéro 2, et les auteurs qui continuent sans cesse de diffuser ces rumeurs effroyables pour manipuler la justice ne pourront plus le faire et devront répondre de leurs actes.

• Autre stratagème, qui va de pair avec le premier : fournir des dizaines de faux témoignages relayant des informations mensongères à l’encontre du Village de l’Emploi, avec toujours les mêmes accusations ignobles : absence d’enseignements, formation sans lien avec l’informatique, rédaction de faux CV, formateurs incompétents, etc… Or, la fausseté de tout cela a déjà été constatée par la justice française. Ces manœuvres ne pourront plus tenir la route et des procédures pénales sont en cours les auteurs de ces mensonges, afin qu’ils comprennent que mentir devant un juge est un acte grave qui est puni par la loi française.

• Utiliser les diffamations présentes sur internet comme prétexte pour se désengager et manipuler le juge. Il s’agit là d’actes de cybercriminalité clairement identifiés : ces personnes inondent internet de propos diffamatoires inqualifiables pour ensuite les donner au juge civil comme prétexte pour se libérer de leurs engagements. Ces agissements sont également très graves et punis par la loi pénale.

• Une autre manœuvre utilisée pour manipuler la justice : assigner le Village de l’Emploi dans un autre pays, à des anciennes adresses, qui n’existent plus, et à un ancien administrateur, qui n’en fait plus partie, alors que la seule adresse présente sur tous les documents, dont le contrat, est l’adresse du siège social français, et que le jeune diplômé s’est formé en France et savait très bien comment contacter le Village de l’Emploi. Cela dans le but de pouvoir produire des faux témoignages en toute sérénité, sans adversaire pour se défendre, et une fois que l’on gagne, envoyer la décision du juge à la bonne adresse cette fois-ci, en France.
Ces actes d’une gravité extrême sont répréhensibles pénalement, et le Village de l’Emploi a engagé les actions nécessaires. Bien sûr, il faut respecter le temps de la justice, mais les auteurs seront punis.

Manipulation des organismes sociaux et fiscaux
Comme il a déjà été raconté dans ce blog, ces personnes n’hésitent pas par ailleurs à manipuler également les organismes sociaux et fiscaux pour allumer des feux de tous les côtés et occuper le Village de l’Emploi pendant qu’ils volent son actif. A chaque fois, les contrôles démontrent que le Village de l’Emploi est en règle sur tous les plans, mais cela suffit pour semer la confusion et occuper le temps et l’énergie du Village de l’Emploi, et en profiter pour mener des actes illégaux derrière son dos.
Les préjudices causés au Village de l’Emploi et à ses partenaires par ces agissements sont énormes, et les personnes qui manipulent les différents organismes étatiques pour semer la confusion et occuper le Village de l’Emploi pendant qu’ils volent son actif ne pourront plus continuer ainsi : des procédures sont en cours.

Actions pour mettre en place un système sécurisé
Aucun grand projet, s’il n’est pas suffisamment sécurisé, ne peut voir le jour, même si c’est un projet citoyen qui est dans la création d’emplois. C’est pourquoi l’avis du Village de l’Emploi est qu’il faut aujourd’hui faire de la sécurité une partie intégrante de sa méthode (SISOTECH SYTEMS), au même titre que les aspects techniques, opérationnels, administratifs, les programmes de formation et la recherche d’emploi.
Ainsi, c’est une solution complète, composée de plusieurs axes complémentaires, qui est mise en place :
– Une campagne de sensibilisation pour éviter que les personnes de bonne foi ne tombent dans le piège de personnes malintentionnées
– Une campagne de communication pour faire connaître le vrai du faux du projet, son objectif et sa valeur ajoutée
– Une action sur le terrain juridique, d’abord sur le plan civil quand le problème est simple, puis sur le plan pénal ensuite si les auteurs commettent des actes pénalement répréhensibles tels que le transfert d’actif ou la production de faux témoignages ou encore l’escroquerie au jugement.
Le Village de l’Emploi mène donc les actions nécessaires contre ces pratiques, et nous continuerons notre action d’investir sur les jeunes diplômés, ce que personne d’autre ne fait, car nous sommes intimement convaincus de leur potentiel et des années qu’ils peuvent gagner dans leur carrière avec notre programme.
Le Village de l’Emploi a l’intime conviction que ces pratiques immorales et illégales ne sont qu’éphémères, maintenant qu’elles ont été démasquées et portées à la connaissance de nos jeunes diplômés et à celle de nos partenaires, et qu’il résistera à cette crise, comme à la crise du Covid-19 et aux nombreuses crises qu’il a dû affronter au cours de son histoire.
Le préjudice causé au Village de l’Emploi pendant ces nombreuses années a été énorme, car nous avons été accaparés par toutes ses manœuvres de manipulation de la justice, des différents organismes etc, sur lesquels nous avons dû concentrer une grosse majeure partie de notre temps au lieu de se concentrer sur la montée en compétence des jeunes diplômés et la recherche d’emploi. Le Village de l’Emploi s’est presque transformé en cabinet d’avocat pour pouvoir faire face à tout cela alors que ce n’est pas notre métier.
Néanmoins, grâce au courage et à la persévérance des différents acteurs du Village de l’Emploi, qui ont continué d’y croire malgré tout et de former des jeunes, qui, alors qu’ils les regardaient droit dans les yeux, pouvaient à tout moment rejoindre ces groupes de personnes qui les insultaient pour voler le projet, 5400 emplois ont pu être créés. Ce chiffre aurait pu être beaucoup plus élevé si le Village de l’Emploi n’avait pas été victime de tous ces stratagèmes qui lui ont monopolisé son temps, mais aujourd’hui, maintenant qu’une solution robuste est en train d’être mise en place, nous sommes certains que ce sont des millions d’emplois qui pourront être créés dans une ambiance plus sereine.